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Incapable de respirer et de parler après des injections aux lèvres j'étais terrifiée

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Incapable de respirer et de parler après des injections aux lèvres j'étais terrifiée

Lauren Evens a vécu la frayeur de sa vie ! Cette habituée du bistouri ne pouvait plus respirer ni parler après ses injections aux lèvres.

Lauren Evens est une adepte de la chirurgie esthétique. 


La jeune femme, originaire de Chester en Angleterre, fait régulièrement des injections aux lèvres depuis quatre ans. Une habitude qui a bien failli la tuer. Comme elle l’a raconté au Daily Mirror, la mère de famille a été victime d’une réaction allergique après une retouche « Mes lèvres ressemblaient à des fesses de babouin. Elles ont gonflé six fois leur taille normale. C’était très douloureux. J’ai fait un choc anaphylactique. Mon cou a enflé, ce qui signifie que mes voies respiratoires étaient en train de se fermer. » Paniquée, la jolie blonde s’est rapidement rendue aux urgences.

« J’ai attendu six heures à l’hôpital. Mes lèvres ont commencé à dégonfler quand on m’a administré un antihistaminique. Je me suis endormie mais quand ils m’ont réveillée pour m’en donner plus, ils ont dit qu’elles devenaient de plus en plus grosses. C’était effrayant. Je ne pouvais pas fermer ma bouche et j’avais du mal à parler. Mes lèvres étaient vraiment endolories et je me sentais mal. Ils m’ont rapidement injecté une dose d’adrénaline et ça a fonctionné » a confié Lauren. La jeune femme de 29 ans avait pourtant l’habitude de faire des retouches tous les six mois. Selon ses précisions, elle avait même reçu moins d’un millilitre d’acide hyaluronique cette fois-ci.

« Je ne ferai plus d’injections pendant un moment »

Arrivée à 22h30, Lauren n’est repartie que le lendemain dans l’après-midi. Rentrée chez elle avec des antihistaminiques, l’Anglaise a dû attendre trois jours pour que le gonflement diminue : « On ignore pourquoi c’est arrivé. Apparemment, vous pouvez développer une allergie à quelque chose à n’importe quel âge et à n’importe quel moment. » 


Une mésaventure qui l’a beaucoup marquée : « Je ne ferai plus d’injections pendant un moment. Je vais faire un test d’allergie pour voir à quoi je suis allergique. Je ne sais pas si c’est à cause de l’acide hyaluronique ou de la crème anesthésiante mais l’idée que ça puisse se reproduire est terrifiante. Je fais des injections pour booster ma confiance en moi. Je n’empêcherai jamais les gens d’en faire mais je leur dirai de faire attention. »

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